Présentations

Salut à tous.

Quelques nouvelles du front:

Mon contrat d’intérim chez Puratos s’est terminé le 20 juillet 2017. L’occasion pour moi de faire le point sur la situation:

 

Alors c’est parti! Pour ceux qui nous rejoignent, je reprends du début.

Qui suis-je?

Je m’appelle Catherine Petit. Je suis née le 8 août 1990 à Aye, près de Marche-en-Famenne, en Belgique. Bébé, j’ai été opérée du cœur aux cliniques universitaires Saint-Luc, à Bruxelles à cause d’une cardiopathie congénitale. Grâce à l’équipe médicale d’une part, et à ma famille d’autre part, j’ai survécu avec pour seul souvenir de l’opération quelques cicatrices. J’ai ensuite grandi avec mes cinq frères et sœurs et mes parents à La Roche-en-Ardenne. Entre trois et seize ans, j’ai fait de la natation deux fois par semaine dans le club de sauvetage « Li p’tit bagneu ». Deux de mes aînés ont lancé une unité scoute à La Roche alors que j’avais une dizaine d’années. Mon petit frère, mon cousin et moi, on était les tous premiers animés. Le chef d’unité était un type passionné, intelligent, et plein d’humour. J’ai appris énormément de choses à ses côtés, et de manière plus intéressante qu’à l’école. Quand il me restait du temps libre, je me plongeais volontiers dans un tas de bandes dessinées. C’est un média qui me parlait, plein de codes que je comprenais.

Qu’est-ce-que j’aime faire?

J’aime chanter, dessiner, lire, faire de la pâtisserie.
J’aime aussi me mettre au service de mon entourage.
J’aime apprendre de nouvelles langues, découvrir d’autres manières de vivre, j’aime comprendre le monde qui m’entoure.

 

Qu’est ce que je sais bien faire?

  • Armée de la suite office, je suis une pro de la mise en page. Vous pouvez me demander ce que vous voulez. Je tape avec mes dix doigts et je maîtrise également un grand nombre de raccourcis clavier, ce qui me rend super-efficace.
  • J’ai aussi une très bonne oreille. Lorsqu’on parle près de moi, je suis attentive aux différents sons de la langue parlée, au timbre, à l’accent, aux rythmes, aux intonations, aux tics de langage. J’ai grand plaisir à reproduire la prosodie des gens que je fréquente au quotidien. Mes talents d’imitatrice m’ont poussée à faire un peu de théâtre. Ce don m’est également fort utile lorsque j’apprends une nouvelle langue.

Qu’ai-je déjà accompli?

J’ai déjà organisé quelques camps scouts. J’ai construit ce site Web. Je suis partie 9 mois en Pologne. J’ai traduit en français le site Internet d’une compagnie théâtrale polonaise. J’ai rédigé plusieurs guides d’utilisateurs en anglais. J’ai guidé mes collègues dans l’apprentissage de l’ERP « SuccessFactors ». J’ai suivi des cours de néerlandais en ligne et acheté un roman écrit en néerlandais pour booster mes connaissances.

Qu’ai-je envie de faire?

J’aimerais travailler au sein d’une entreprise internationale soucieuse de respecter l’environnement. Peu importe la fonction du moment que je peux utiliser et développer mes compétences en informatique, en communication et ma créativité, je serai heureuse.

Quelles sont mes qualités?

  • Fidèle: C’est une qualité qu’on me reconnaissait déjà à l’époque de ma totémisation, chez les scouts. Chez moi, l’esprit de famille est très fort. J’aime travailler en équipe. Je suis fidèle à mes valeurs, et vis-à-vis de ceux qui les partagent.
  • Soucieuse du détail : Lorsque je suis face à une situation nouvelle dont je ne saisis pas encore toute la complexité, je me pose instantanément plein de questions. Que se passe-t-il dans tel scénario alternatif? Je sais que ce mode de fonctionnement est plus intéressant sur des tâches à long terme.
  • Créative : Plusieurs personnes de mon entourage, tant familial que professionnel me l’ont dit. J’ai plutôt le sentiment d’être capable de trouver la technique adéquate à la réalisation d’une tâche.

Quels sont mes défauts?

  • On m’ a souvent  reproché un manque de délicatesse. Aussi, je considère ce trait de caractère comme un défaut. Mais les gens qui aiment qu’on aille droit au but apprécieront ma spontanéité et ma franchise.
  • Je suis un chouia paresseuse : Tout le monde admet que c’est un défaut, mais là aussi, il est possible de tourner ce trait de caractère en une force. La paresse vient de la monotonie. Face à une tâche rébarbative (le genre de tâche qui, à force de répétition, me semble débile), je m’attelle plutôt à trouver un moyen de l’automatiser, ou de la rendre plus rapide à effectuer. Ainsi, dans un premier temps, je reste alerte lors de la mise en place du processus d’automatisation, ensuite, je gagne chaque fois du temps que je peux consacrer à des choses plus intéressantes.
  • Procrastinatrice: Pourquoi faire maintenant ce qu’il sera encore temps de faire plus tard? Hors situation d’urgence, j’évite le stress inutile et les heures de travail à rallonge. De nouveau, à supposer 3 tâches à effectuer, d’importance et d’urgence égales, je commencerai par celle qui me plait le plus, puis des deux restantes, je m’attellerai aussi à ma préférée. Ainsi, je fais toujours quelque chose qui me plait. Travailler à quelque chose qui me plait me donne plus d’énergie et me rend donc plus productive.

Quelles sont mes attentes professionnelles?

  • M’épanouir : J’aimerais avoir un boulot amusant dans lequel je découvre encore plein de softwares.
  • Donner du support : Qui n’a jamais rêvé d’être un puissant magicien? Ou un super-héros?
    J’aimerais pouvoir utiliser mes connaissances informatiques pour venir à la rescousse d’un maximum de personnes qui galèrent dans l’informatique. J’adore le sentiment de fierté qui s’empare de moi quand une personne que j’ai aidé me dit que j’ai sauvé sa journée. 🙂
  • Prendre part à différents projets : J’aimerais aussi participer à de gros projets et pouvoir prendre la parole en public à ce propos (donner des formations ou faire des conférences de presse)

Quelles sont mes valeurs?

  • Fidélité
  • Respect de l’environnement
  • Persévérence

Du vocabulaire à apprendre? Facile!

Bonjour,

Peut-être avez-vous, comme moi, un amour pour l’apprentissage de nouvelles langues?
Peut-être êtes-vous, comme moi, plus passionné par la structure de la langue que par son vocabulaire?
Peut-être avez-vous, comme moi, passé vos vacances à vous rentrer dans le crâne, bon gré mal gré, d’infinies listes de vocabulaire? On est d’accord, il y a des façons plus sympa de passer des vacances.
Enfin, peut-être vous êtes-vous dit que ce serait plus agréable d’apprendre ce vocabulaire dans un contexte plus ludique?

Pendant mes études en Relations publiques, je créais déjà des petites étiquettes (1 x 4 cm) recto-verso pour les mots qui me posaient problème (une couleur par langue à apprendre). Ensuite je mettais toutes mes étiquettes dans un pot (merci Nutella) et piochais un mot au hasard. Je ne pouvais retirer l’étiquette du pot et la mettre dans le couvercle que si j’étais capable de traduire le mot affiché. C’était un bon système. D’ailleurs, il m’arrive encore d’y jouer de temps en temps, pour me rafraîchir la mémoire.
Jouer. Il est là le truc. J’ai converti un machin pénible en un jeu. (Basique, d’accord, mais jeu tout de même) 🙂

De la même façon, lors de mon séjour en Pologne, j’ai crée une petite base de donnée avec le nom de quelques animaux, traduits par mes amis en différentes langues.
De retour en Belgique, j’en ai fait un jeu de cartes à jouer (avec l’outil publipostage de Word). J’ai ensuite imaginé différentes règles de jeu autour qui permettent dans un premier temps de manipuler le matériel, pour se familiariser aux mots. En est ressorti un jeu de mémory classique. Et quelques contraintes :
Imprimer tout ça, c’est cher, pas très écolo, et en plus, ça prend de la place.
J’ai pensé qu’un jeu de mémory sur internet, ce serait bien plus avantageux. Ça me permettrait de jouer avec une infinité de cartes et de langues, à peu près n’importe où. Et puis au passage, ça permettrait à d’autres personnes d’en profiter.

J’ai pris récemment conscience du fait qu’utiliser internet, ça pollue. (voir cette vidéo du tatou) Mais une version papier ça polluerait aussi (en regardant large : le papier, l’encre, l’imprimante, les cartouches, le transport…) Je ne sais pas au final quelle version est la moins polluante. :/ Mais bon, à côté de ça, je fais attention à trier mes déchets, à éteindre/ débrancher les appareils dont je ne me sers pas, à acheter des plus grandes quantités de nourriture (et partager avec mes coloc) pour éviter le suremballage, à me déplacer autant que possible à pied ou en transports en commun, à réutiliser les boîtes et les vieilles machines (entre autres, l’imprimante citée plus haut) tant que c’est possible. Bref, ça pollue, oui, mais faut relativiser.

Comme j’ai déjà un site internet, je me suis dit qu’il me suffirait de quelques pages en plus pour y installer mon jeu. Il n’y a plus qu’à coder un jeu de mémory. Ce genre de jeu est sûrement assez simple à coder. J’imagine qu’il y a des tutoriels sur internet. Je trouve effectivement un lien assez sympa. Tout le travail est prémâché, il n’y à qu’à remplacer les images. Yaka. Moui… Pas si simple en fait. Parce que pour coder un jeu de mémory, … Il faut utiliser Javascript. Qu’à cela ne tienne! … J’arriverai bien à créer un petit jeu de mémory de rien du tout… Je vais apprendre à coder en Javascript.

 

Niveau d’apprentissage global : 15%
  • JS tutorial : 30%
  • JS forms : 0%
  • JS objects : 0%
  • JS functions : 0%
  • JS HTML DOM : 0%
  • JS browser BOM : 0%
  • JS AJAX : 0%
  • JS JSON : 0%
  • JS examples : 0%
  • JS References : 0%